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9 novembre 2011 3 09 /11 /novembre /2011 22:24

Capture-d-ecran-2011-11-09-a-22.25.30.pngDepuis 2007, Nicolas Sarkozy ne cesse de réformer la France afin de garantir l’avenir des générations futures tout en préservant notre modèle de solidarité.  De nombreux efforts ont été réalisés : réforme des retraites, des hôpitaux, des collectivités, RGPP, réduction des niches fiscales, maitrise des dépenses de santé, etc… Sans cette politique courageuse, la France serait aujourd’hui en quasi faillite. Les crises successives depuis 2008 ont rendu notre endettement à un niveau complètement déroutant : la dette pèse desormais 25000 € par Français !


Le 7 novembre dernier, François Fillon a présenté un plan de réduction de la dette qui devrait permettre d’équilibrer les comptes publics en 2016. Avec 65 milliards d’euros d’économie sur 4 ans, ajouté aux efforts déjà programmés le 24 août dernier (48,4 milliard d’€), ce plan permettra de réduire notre dette de près de 115 milliards d’euros en 2016.


Ainsi, le Premier Ministre a annoncé un plan d’envergure ; parmi les mesures phares :


- Réduction de 500 millions d’euros le budget de l’Etat dès 2012 et réduire les surfaces occupées par les administrations.  

- Diminution de 700 millions d’euros les dépenses de santé

- Réduction de 2,6 milliards d’euros les niches fiscales d’ici 2016 (suppression du dispositif Scellier notamment)

- Avancement d’un an l’application de la réforme des retraites : le passage à 62 ans se fera en 2017 au lieu de 2018.

- Augmentation de 5% des impôts sur les sociétés qui réalisent plus de 250 millions d’euros de C.A. annuel.

- Augmentation des taux réduits de TVA de 5,5% à 7%. Le gain atteindra 1,8 milliards dès la première année.

Les dirigeants politiques montrent également l’exemple :

- la dotation de l’Etat pour financer les campagnes électorales sera réduite de 5%

- les aides aux partis politiques diminueront de la même manière : - 5%

- Gel des salaires des membres du Gouvernement et du Président de la République

 

Avec toutes ces mesures, chacun participera en fonction de ses moyens à l’effort national.  En cette veille d’élection présidentielle, la question n’est pas de se demander si ces décisions sont populaires ou « électoralement « payantes ». Quand on est aux plus hautes responsabilités, la question est de savoir ce qui est bon pour l’intérêt général.

 

Ces efforts, à la hauteur des difficultés actuelles, vont permettre d’économiser près de 115 milliards d’euros d’ici 2016, cela contraste singulièrement avec le projet socialiste  avec ses 255 milliards de dépenses nouvelles et ses 126 milliards d’impôts supplémentaires.

Entre responsabilité et laxisme financier, les Français devront trancher en 2012. Bien entendu, on y reviendra !

 

 

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29 décembre 2010 3 29 /12 /décembre /2010 01:56

croissance.jpg

 

A la fin de l’année 2010, la croissance de la France aura atteint 1,6%. Ce résultat encourageant s’explique par deux facteurs : l’investissement des entreprises a progressé de 0,5 % et la consommation des ménages à doublé (0,6%).

Aussi, je regrette que les médias ne relaient pas suffisamment cette information. L’explication est très simple : seulement 6% des journalistes sont « de droite » (cf. article d’Eric Brunet : http://www.ericbrunet.fr/?p=51

Pourtant, le constat est clair : la France n’a pas à rougir face à ses voisins !


Lorsque l’on compare la situation économique avec les autres pays européens, on remarque que la politique menée depuis le début de la crise porte ses fruits. Tandis, que le taux de chômage a augmenté de 53% au Royaume Uni et 121% en Espagne, la France a vu le nombre de chômeurs évoluer de 33%. Bien entendu, c’est encore trop, mais ces chiffres doivent encourager le gouvernement à maintenir les efforts pour relancer l’économie française. C’est pourquoi, il est nécessaire de changer les habitudes du passé : il faut bannir le modèle de croissance financé par la dette pour s’orienter vers une croissance basée sur le travail et l’innovation.  Le modèle allemand doit servir d’exemple. C’est pour cela que nous devons ouvrir le débat sur la TVA « anti-délocalisation », accélérer la sortie des 35 heures et rendre notre fiscalité plus incitative pour l’investissement. Depuis le début de son mandat, Nicolas Sarkozy a beaucoup misé sur l’innovation (en développant notamment les pôles de compétitivité) dans le but de conquérir des marchés dans les pays émergents (l’Inde, la Chine,…). Ce soutien d’une ampleur sans précédent permettra de tirer notre économie vers le haut. Qu’on se le dise !

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24 octobre 2010 7 24 /10 /octobre /2010 08:53

Voici les principales mesures du projet de loi de réforme des retraites à l'issue de son examen, vendredi, en première lecture au Sénat

ÂGE LÉGAL

Le recul à 62 ans, à l'horizon 2018, de l'âge légal de départ à la retraite est la mesure phare. L'âge légal de départ augmentera progressivement de quatre mois par an, à compter du 1er juillet 2011. La première génération concernée par ce relèvement progressif est celle née après le 1er juillet 1951.

L'âge du taux plein (âge auquel est annulée la décote même si la durée de cotisation nécessaire n'est pas atteinte) sera relevé progressivement de 65 à 67 ans de 2016 à 2023.

DURÉE DE COTISATION

L'article sur la durée de cotisation a été supprimé par une erreur de vote des sénateurs centristes. Il devrait être rétabli lors de la CMP (commission mixte paritaire). Il prévoit que la durée de cotisation pour une retraite à taux plein, actuellement de 40,5 ans, soit fixée en fonction de l'allongement de l'espérance de vie. La durée de cotisation passera à 41 ans en 2012.

PÉNIBILITÉ

Les salariés qui, du fait d'une situation d'usure professionnelle constatée, ont un taux d'incapacité physique supérieur ou égal à 20 % pourront continuer à partir à la retraite à 60 ans. L'assuré devra prouver son exposition à des facteurs de risques professionnels et recevoir l'aval d'une commission. Devraient être concernées 30.000 personnes (sur les 700.000 partant en retraite chaque année).

Les salariés occupant des postes de travail pénibles pourront bénéficier d'allègement de charge du travail ou de compensation de la charge dans le cadre d'accords collectifs de branche.

MESURES EN FAVEUR DES PARENTS ET HANDICAPÉS

Les parents d'enfants lourdement handicapés soignés à domicile pourront continuer à partir à 65 ans sans décote, ainsi que les mères de trois enfants, nées entre 1951 et 1955, ayant arrêté de travailler pour les élever. Même chose pour les aidants familiaux et les travailleurs handicapés.

CARRIÈRES LONGUES

Le dispositif, créé en 2003, permettant un départ anticipé à la retraite avant l'âge légal sous réserve d'avoir une durée de cotisation de deux ans supérieure à celle requise pour le taux plein est reconduit. Il est élargi à ceux qui ont commencé à travailler à 17 ans. L'âge minimal de départ autorisé passe de 56 à 58 ans pour ceux qui ont commencé à travailler à 14 ans, mais la transition vers ces nouvelles règles a été atténuée pendant l'examen de la réforme.

FONCTION PUBLIQUE

Un alignement du taux de cotisation retraite des fonctionnaires sur celui du privé (passage de 7,85 à 10,55 %), étalé sur 10 ans, est prévu. La réforme prévoit la fin en 2012 du dispositif qui permet aux fonctionnaires parents de trois enfants avec 15 ans d'activité de partir à la retraite à l'âge de leur choix.

NOUVELLES RECETTES

Le gouvernement compte apporter environ 4 milliards d'euros par an de recettes nouvelles au système de retraite. Il prévoit notamment un nouveau prélèvement sur la dernière tranche de l'impôt sur le revenu et les plus-values de cessions, une hausse des prélèvements sur les stock-options et les retraites-chapeaux.

ÉGALITÉ HOMMES/FEMMES

Les entreprises d'au moins 50 salariés pourront être sanctionnées financièrement (1 % de la masse salariale) si elles n'ont pas signé d'accord ou de plan destiné à résorber les écarts salariaux hommes-femmes.

ÉPARGNE RETRAITE

La moitié des sommes perçues par un salarié au titre de la participation aux résultats de l'entreprise est, sauf avis contraire dudit salarié, obligatoirement versée sur le Plan d'épargne pour la retraite collectif (Perco). Possibilité pour un salarié d'alimenter de façon individuelle les fonds d'épargne retraite en entreprise.

RETRAITE À POINTS

Dès 2013 sera lancée une étude pour une retraite à points.

source : www.lepoint.fr

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7 septembre 2010 2 07 /09 /septembre /2010 01:05

41771 226800131 2364 nAujourd’hui, mardi 7 septembre, les syndicats appellent à manifester contre le projet de réforme sur les retraites. Il semblerait même que le mouvement soit suivi par de nombreux français, en activité ou non. Le plus étonnant dans l’histoire, c’est la mobilisation des retraités eux mêmes… !!! Alors que le texte assure la pérennité des pensions de retraites, on croit rêver !


Les socialistes seront également dans les rues…  pour défendre une recette qui ne fait pas peau neuve : maintien du départ à la retraite à 60 ans, pas d’augmentation de la durée de cotisation, taxer les richesses du pays. Bref, avec le PS, c’est l’immobilisme  assuré ! Or, ne rien faire représenterait une véritable régression sociale :


Pour mieux comprendre, voici quelques chiffres qui font réfléchir si l’on ne fait rien :


-      - En 1946, un retraité avait une espérance de vie de 15 ans. En 2009, il vit 7 années de plus.

-       - En 2010, la France compte 15 millions de retraités. En 2050, ils seront 23 millions.

-       - En 2010, il y a 1,8 cotisants pour 1 retraité.  En 2050, ce chiffre passera à 1,2.

-      - En 2010, le déficit dû au financement des retraites atteint 32 milliards d’€. En 2050,  le déficit atteindra 102 milliards d’€.


La réflexion est pourtant simple : si nous vivons plus longtemps, nous devons cotiser plus longtemps. Conduire un train en 1960, ce n’est pas la même chose que conduire un TGV en 2010. Il faut donc s’adapter au monde changeant et réduire les inégalités entre public et privé. Et puis, que penser des enseignants qui - à peine rentrés – vont déserter les salles de classes ?


Aussi, je regrette le manque d’objectivité des médias qui détournent le problème pour évoquer l’affaire Bettancourt plutôt que de développer le sujet de fond. En regardant les informations hier soir, j’ai constaté le manque d’information des français sur ce dossier. Beaucoup pensent devoir travailler jusqu’à 67 ans, ce qui est archi-faux ! Au contraire, l’évolution sera progressive ; les français devront travailler un trimestre de plus par an jusqu’en 2018 et l’âge légal du départ à la retraite passera à 62 ans.


Pour toutes ces raisons, je considère qu’il vaut mieux aller travailler le 7 septembre plutôt que de manifester contre un projet juste !

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4 juillet 2010 7 04 /07 /juillet /2010 11:58

Voici les principaux points du projet de réforme des retraites du gouvernement :


AGE LEGAL

Le recul de l'âge légal de 60 à 62 ans est la pierre angulaire du projet du gouvernement et la mesure la plus contestée par les syndicats (sauf la CFE-CGC) et l'opposition.

Le gouvernement veut porter l'âge légal à 62 ans en 2018, en l'augmentant chaque année de 4 mois à partir de la génération 1951.

L'âge du taux plein, dit aussi âge d'annulation de la décote, sera lui aussi relevé progressivement de 65 à 67 ans de 2016 à 2023.

 

DUREE DE COTISATION

La durée de cotisation pour une retraite à taux plein est actuellement de 40,5 ans et aura atteint 41 ans en 2012. Il est prévu dans le projet qu'elle passera à 41 ans et trois mois à partir de 2013.

 

PENIBILITE

Les mesures pour tenir compte de la pénibilité de certains métiers apparaissent comme des compensations au recul de l'âge légal, mais elles sont jugées insuffisantes par les syndicats.

Le gouvernement propose de maintenir la retraite à 60 ans pour les salariés qui, du fait d'une situation d'usure professionnelle constatée, ont un taux d'incapacité physique supérieur ou égal à 20%. Il propose aussi de reconduire et d'élargir le dispositif "carrières longues".

 

NOUVELLES RECETTES

Le gouvernement compte apporter environ 4 milliards d'euros par an (sur un déficit estimé à 40 mds EUR en 2018 sans réforme) de recettes nouvelles au système de retraite, ce que les syndicats considèrent comme insuffisant.

Il s'agit notamment d'un nouveau prélèvement sur la dernière tranche de l'impôt sur le revenu et les plus-values de cessions, d'une hausse des prélèvements sur les stock-options et les retraites-chapeaux, ou encore d'un nouveau mode de calcul des allègements de charges moins favorable aux entreprises.

 

FONCTION PUBLIQUE

Un alignement du taux de cotisation retraite des fonctionnaires sur celui du privé (passage de 7,85 à 10,55%), étalé sur 10 ans, est prévu.

Le gouvernement va fermer à compter de 2012 le dispositif de départ anticipé sans condition d'âge pour les parents de 3 enfants ayant 15 ans de service.

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8 juin 2010 2 08 /06 /juin /2010 01:25

Capture d’écran 2010-06-08 à 01.32.42Le dossier des retraites fait couler beaucoup d'encre. Il suscite de nombreuses interrogations voire de vives inquiétudes parmi les syndicats. Pourtant, il faut se rendre a l'évidence : l’espérance de vie augmente (3 mois par an en moyenne) et notre système de retraite doit être réformé si nous voulons le préserver.  

La solidarité inter-générationnelle due au système par répartition semble être conservée et il y a peu de doute sur l’augmentation de la durée des cotisations. D’ailleurs, les pays de la zone Euro se sont tous orientés vers cette voie. La France a pris un réel retard et les chiffres parlent d’eux mêmes :

-            En 2010, notre pays compte 15,5 millions de retraités. En 2050, ils seront 23 millions, ce qui représente un taux d’augmentation de 47%. 

-            En 2010, la France compte 1,8 cotisants par retraité. En 2050, le ratio tombera à 1,2.

 

Voilà pourquoi, il est nécessaire d’agir vite. Cette réforme était annoncée dans le programme de Nicolas Sarkozy. Elle n’est donc pas une surprise. Je reste cependant sceptique sur le thème de la pénibilité du travail. Qu’est ce qu’un emploi pénible ? Est-ce le fait du stress ? Est ce une question d’effort physique ? Je crois que les deux sont parfois liés et aujourd’hui la demande de rentabilité est présente dans toutes les entreprises. Est-il plus pénible d’enseigner devant une classe de 30 élèves ou de manager une équipe de 30 commerciaux dans une entreprise en pleine crise ? Est-il plus pénible de conduire un camion à l’international à 60 ans ou d’effectuer des travaux de maçonnerie ? Ce sont de vraies questions qui à mon avis auront du mal de trouver réponse. Si le gouvernement arrive à mettre les partenaires sociaux en accord sur le sujet, j’avoue que je serai agréablement surpris…

 

Personnellement, j'aurais souhaité la refonte complète du système avec la mise en place d'un système par capitalisation. Cela aurait permis d'éviter de nouveaux problèmes en cas de "choc" démographique.

 

Et pendant ce temps, que dit le Parti Socialiste ? Martine Aubry a indiqué qu'elle souhaitait conserver l'âge légal du départ à la retraite a 60 ans. Je ne comprends pas cette position purement "électoraliste". Cette annonce a semé - une fois de plus - la division au sein de l’opposition, prouvant que le PS cherche son ou sa « présidentiable » plutôt que de répondre aux attentes des citoyens. Pitoyable. 

 

 

Bref, le débat reste ouvert et pour ceux qui souhaiterons s’exprimer, Michel Heinrich (Député Maire d’Epinal) tiendra une réunion publique... lundi 14 juin (20h) à l'amphithéâtre de la rue de la Maix (centre d'études juridiques).

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6 mai 2010 4 06 /05 /mai /2010 01:09

Dans le cadre de la réforme des retraites, le Mouvement Populaire a souhaité recueillir toutes les idées et remarques en nommant un "référent retraite" dans chaque département.Dans les Vosges, c'est Jean René LEBON, un Jeune Populaire qui s'est vu confier cette responsabilité. Étudiant en Droit, il a reçu pour mission de favoriser l'organisation de quelques rencontres sur le département. Pour la première circonscription, cette réunion aura lieu le :

LUNDI 10 MAI

19 h 45

Salle Verdun, face à l'Eglise à THAON LES VOSGES


Bien entendu, cette réunion est ouverte à toutes celles et ceux qui souhaitent participer au débat. Personnellement, j'y serai et je n'hésiterai pas à faire part de mon avis sur le sujet !

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10 décembre 2009 4 10 /12 /décembre /2009 13:27

Le débat sur l’identité nationale aura lieu dans notre département :

 

LUNDI 14 DECEMBRE 2009
à 20h30
 à la Mairie de CHARMES

 

Cette réunion organisée par Jean-Jacques GAULTIER, Député de 4ème circonscription amènera la question suivante : « qu’est ce qu’être Français aujourd’hui ? »

Une réflexion commune permettra de mieux savoir d’où l’on vient, qui l’on est, ce que l’on veut construire ensemble…

 

Nadine MORANO, Secrétaire d’État chargée de la Famille et de la Solidarité sera présente pour l’occasion.

 

Cette réunion est publique car l’identité nationale nous concerne tous. Elle est ouverte à celles et ceux qui souhaitent faire avancer le débat. Les propositions qui en découleront feront l’objet d’un rapport destiné à Eric Besson, Ministre de l’Immigration, de l’Intégration, de l’Identité nationale et du Développement solidaire.

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8 décembre 2009 2 08 /12 /décembre /2009 23:58

Au ministère de l’éducation nationale, les fonctionnaires de chôment pas ! L’arrivée d’un nouveau ministre est systématiquement synonyme d’une nouvelle réforme. On commence à y être habitués !

 

Cette semaine, Luc Châtel a présenté la réforme du lycée. La gauche s’est empressée de fausser le débat et s’amuse aujourd’hui à « désinformer » pour mieux créer la polémique. On commence (malheureusement) à y être habitué !

 

Par exemple, l’opposition évoque « la suppression de l’histoire en terminale S ». C’est faux ! Tout le monde est d’accord pour dire que l’histoire est une matière importante. Il n’est donc pas question de la supprimer. 

L'idée est d'avancer l'épreuve qui était jusqu'à lors à la fin de terminale, et de la mettre en même temps que le français, tout en conservant le même programme !

Est-ce que le français est une matière considérée comme moins importante pour autant ? Non.

 

Le programme ne sera pas réduit par cette mesure, et les terminales S qui souhaiteront approfondir cette matière pourront même choisir d'en prendre davantage en terminale.

 

C'est simplement une mesure qui permettra une scolarité plus souple, s'adaptant mieux aux élèves.

 

La désinformation… NON,  l’information… OUI !

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30 septembre 2009 3 30 /09 /septembre /2009 02:20

Nicolas Sarkozy a présenté le plan « Agir pour la jeunesse » lors d’un déplacement à Avignon. Parmi les mesures fortes annoncées, le RSA initialement prévu pour les RMIstes de plus de 25 ans, sera étendu aux jeunes à partir de 18 ans sous condition que le bénéficiaire ait travaillé au moins deux ans sur les trois dernières années. Au total, 160.000 jeunes sont concernés.


Le RSA est un outil favorisant la réinsertion pour que le salaire du travail soit toujours supérieur au revenu de l’assistanat ; c’est pourquoi les jeunes diplômés n’y ont pas droit à la sortie de l’école.


Personnellement, je considère que la mise en place du RSA est l’une des plus grandes réformes du quinquennat présidentiel. Cette extension est une bonne nouvelle car elle met fin à un système inégalitaire. Depuis le 1er juillet 2009, de nombreux jeunes se retrouvaient sans aucune aide liée au retour à l’emploi au seul motif qu’ils étaient âgés de 23 ou 24 ans. Avec cette annonce, Nicolas Sarkozy reste fidèle à ses engagements et oriente la France vers un système où l’Etat aidera chaque jeune qui souhaitera s’en sortir.

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